Psychogénéalogie :
Quand l’arbre généalogique parle de nous et nous parle

Qu’est ce que la psychogénéalogie ? Pourquoi dans certaines familles le grand-père, l’oncle et le petit fils sont-ils devenus alcooliques ? Pourquoi dans cette famille, sur plusieurs générations, le premier enfant meurt en bas âge ? Pourquoi une fille est amenée à se marier le jour même du décès de sa grand-mère ? Pourquoi y a-t-il tant de femmes qui n’arrivent pas à tomber enceintes, alors qu’elles n’ont aucun problème médical ?

Obtenir les réponses aux questions grâce à la psychogénéalogie

A ces questions et à beaucoup d’autres on peut aujourd’hui donner des réponses grâce à l’aide de la Psycho-généalogie, théorie introduite dans les années 1970 par Anne Ancelin Schutzenberger et reprise plus tard par Alexandro Jodorowsky, qui l’approfondit et l’enrichit d’une technique thérapeutique particulière, la psychomagie.

Un inconscient familial qui peut déterminer votre destin

Le postulat principal de la Psycho-généalogie est qu’il existe un inconscient familial dans lequel nous sommes immergés du moment où nous venons au monde (ou, pour être plus précis, au moment de notre conception) et qui va déterminer d’une façon plus ou moins cachée notre destin : notre comportement amoureux, notre santé, le choix de notre activité et même nos moyens financiers.

Une transmission qui se répète et qui s’effectue de génération en génération

Il a été constaté et confirmé que tous les événements, traumatismes, secrets et conflits vécus par les aïeux sont transmis d’inconscient en inconscient d’une génération à l’autre, avec une précision mathématique, comme des patates chaudes qui passent de génération en génération tout en brulant les mains au passage (A.Ancelin, Aie, mes aieux !)

Généralement, on répète afin de mettre à jour les secrets des générations précédentes. La répétition sert en effet à faire monter à la surface et porter à conscience conscient une situation secrète inscrite dans le passé familial. Ainsi, les   traumas familiaux et les secrets qu’ils génèrent ne s’éteignent pas avec ceux qui les ont vécus, mais se retrouvent chez les descendants sous des formes diverses (maladies, troubles psychiques, etc.). Autrement dit, quand les blessures sont indicibles et insurmontables, elles laissent des traces, non seulement dans le vécu de la personne, mais aussi de ses descendants.

Quelques exemples de cas en psychogénéalogie

C’est ainsi qu’un enfant souffre de troubles digestifs liés à des traumatismes subis       par un des parents dans sa jeunesse et restés dès lors dans le silence ; un homme  met en danger sa vie en conduisant à toute vitesse pour ramener à la surface le secret concernant le suicide de son grand-père paternel, devenu sujet tabou dans la famille ; ou bien dans une autre famille on ne donne naissance qu’à des garçons, car l’inconscient veut éviter de reproduire l’abus sexuel du grand père sur sa propre fille… 

Nous arrivons donc au monde avec un « sac à dos », plus ou moins lourd, contenant toutes les expériences, les réussites, les échecs, les talents, etc. de nos antécédents, qui vont nous conditionner de façon inconsciente tout le long de notre vie.

Chaque arbre généalogie peut donc être lu comme un système de programmations et de répétitions auxquelles on n’échappe pas sans un travail profond sur soi finalisé à porter à conscience les pièges et les trésors potentiels dont nous héritons.

Pourquoi choisir la psychogénéalogie ?

La thérapie par la psycho-généalogie est d’une durée courte. Souvent quelques séances suffisent. Le travail du thérapeute est similaire à celui d’un détective qui cherche dans l’arbre généalogique les pistes qui mènent à la source du problème. 

Souvent, je propose au patient de faire un acte symbolique qui lui permettra de matérialises ses difficultés et s’en débarrasser. L’acte symbolique aide à se libérer émotionnellement et à déposer les fardeaux du passé. Souvent, les changements surviennent déjà dans les jours qui suivent l’acte. 

Comment se déroule une séance de psychogénéalogie ?

La durée de la séance est d’une heure (une heure et demie pour la première séance). Je demande à la personne de me fournir toutes les informations qu’elle a sur sa famille, sur trois ou quatre générations : prénoms, noms, dates de naissance, de mariage, de décès, maladie, fausses couches, avortements, métiers, etc. Il n’est pas nécessaire d’avoir mené une enquête généalogique avant de prendre RDV. On travaille avec les informations que l’on a. Les oublis, les secrets, les non-dits sont aussi très parlants !

Consultation Psycho-généalogie

70 €
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